Le plastique utilisé pour la fabrication du bracelet est obtenu à partir d’huile de graines de ricin commun (Ricinus communis) Cette huile pressée est transformée en un polymère végétal par des procédés chimiques appropriés. Il s’agit d’un plastique qui, de par son origine et sa biodégradabilité, n’a qu’un impact minimal sur l’environnement.

La batterie de la montre se recharge grâce à l’énergie solaire. Cela évite de devoir changer de pile.

Le plus souvent fabriqué à partir de caoutchouc, de résine ou de silicone. Doté d’une grande souplesse, ce type de bracelet ne provoque pas d’allergie, est résistant à l’eau et n’absorbe pas la transpiration. Il n’est pas froid et s’adapte aisément à la forme du poignet.

Cette lunette est conçue pour chronométrer de courtes périodes allant jusqu’à 60 secondes. La lunette permet de définir le début de la mesure. Il suffit donc de la tourner sur la position de départ pour lire le temps directement sur la lunette.

Les montres indiquant une étanchéité de 100 M/10 ATM sont conçues pour la natation et la plongée en apnée, mais ne sont pas adaptées à la plongée en bouteille. 100 M/10 ATM correspond au niveau de résistance à l’eau défini par la norme ISO 6425. Les tests ISO consistent à alterner les températures, les profondeurs et les pressions (eau et air) pendant des durées variables au repos et durant la manipulation de la partie opérante de la montre.

À l’heure actuelle, il s’agit du type de verre le plus répandu en horlogerie. Il est très dur et a une teneur en silice élevée, ce qui le rend très résistant aux rayures et aux frottements. Toutefois, cela ne signifie pas qu’il en est totalement protégé.

Il s’agit du fermoir le plus couramment utilisé, en particulier pour les bracelets en cuir et en silicone. Il suffit d’insérer la tige métallique dans le trou de la boucle du bracelet correspondant à la grandeur du poignet.